Mercredi 18 octobre, les discussions sur le scandale arbitral touchant le FC Barcelone ont pris une ampleur considérable avec la mise en examen de Joan Laporta. La libre circulation de l’actuel président du club est désormais menacée en raison de l’accusation de corruption qui pèse sur lui.
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La prescription des faits écartée!
Après Josep Maria Bartomeu et Sandro Rosell, qui ont déjà été inculpés pour corruption dans l’affaire Negreira, l’actuel président du FC Barcelone est maintenant sous le coup des poursuites judiciaires. D’après la perspective du juge chargé de l’enquête, il ne pouvait pas bénéficier de la prescription des faits, en raison de la gravité des agissements reprochés. Selon les allégations, le club catalan aurait versé un total de 7,3 millions d’euros à José Maria Enriquez Negreira entre 2001 et 2018. Les paiements ont été effectués par l’entremise de Dasnil 95, une entreprise appartenant à l’ex-arbitre. Les manigances auraient pris fin lorsque ce dernier aurait perdu sa place au deuxième rang de l’arbitrage espagnol.
Refus des faits !
Dans une interview accordée à la radio catalane, Laporta a déclaré : « Nous pouvons être tranquilles, ils n’ont pas pu le prouver et ils ne pourront pas le prouver (que les paiements ont été effectués pour acheter l’arbitre) », dénonçant ainsi un campagne orchestrée pour déstabiliser son club. Depuis des mois, le Barça est plongé dans cette crise qui a visiblement sur lui un impact négatif. Pour l’heure, le club dément toute irrégularité.