« Tu ne feras pas ça dans ma maison » : cette phrase, bon nombre l’ont entendue. Plus encore, elle a déterminé l’avenir de plusieurs d’entre nous. Faux problème ? Ou véritable mal social ?
Un père pas content du talent de son fils ?
Sur Facebook, Tranquillin laisse un message de remerciement à Nondroas Tv; Jaurès Kevin Adjinda; The style; Armand movie; AM PROD; Ladji K1000; Menouston et à Akpenin. Après tout, ne sont-ils pas ceux qui l’ont aidé à atteindre un si grand public ? Car oui, un million d’abonnés, ça se fête.
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Pour autant, ce n’est pas ça qui attise la perplexité du public.
« Papa si jamais tu vois cette publication je voudrais te demander pardon, laisse-moi faire les vidéos. C’est ce que j’aime faire, c’est ce que je sais faire, j’aime faire rire les gens, je me sens heureux quand je vois les autres en train de sourire.
Regarde-t-il y’a 1 million de personnes qui me suivent. Je sais que je suis venu en France pour mes études et je te promets de ne pas zapper mes études. J’espère que tu verras cette publication et que tu verras qu’il
y’a beaucoup de personnes qui aiment ce que je fais et je peux faire beaucoup plus par la grâce de Dieu ».
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Lire profondément ces deux derniers paragraphes, conclusion de son poste, assomme et alerte sur un état d’esprit déjà bien présent dans nos sociétés. Mille questions se succèdent : faire ce qu’on aime devrait-il être mal perçu ? Avoir 1 million de soutien dans le monde et pas un membre de votre famille qui vous donne de la force ? C’est ahurissant.
Cri d’alerte
Les résultats du Baccalauréat s’annonce déjà. Une prise de conscience immédiate s’avère importante. Car reconnaissons le: cette formule (étude classique, boulot) n’a visiblement pas marché avec nous, et bonjour le chômage.
Force et courage donc à Tranquillin, le visage derrière le challenge : « Serveur, une bière « .
