Octobre prend l’intonation d’un mois de lutte. Une lutte qui nous concerne tous. Tous étant touchés, hommes comme femmes, il importe d’en savoir davantage sur le cancer du sein.
Le cancer du sein: qu’est ce que c’est ?
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme et chez 1% d’homme. Il est la conséquence d’un dérèglement de certaines cellules. Ces cellules se multiplient et forment le plus souvent une masse appelée tumeur. Le cancer du sein évolue de différente manière, et selon le type dont il est question. Certains peuvent être agressifs et évoluer très rapidement, tandis que d’autres évoluent lentement.
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Comment traiter le cancer du sein?
Parmi les traitements préconisés pour le cancer du sein, il est possible de citer : la chirurgie, la radiothérapie, l’hormonothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. Il arrive parfois qu’un seul type de traitement soit nécessaire. Dans d’autres cas, une association de traitements est utile pour mieux maîtriser la maladie. On peut par exemple, réaliser une chirurgie et compléter ensuite le traitement uniquement par une chimiothérapie, ou uniquement par une radiothérapie. Le choix des traitements est personnalisé et adapté à la situation du patient.
Qui sont les spécialistes en charge du suivi du patient ?
Les gynécologue, oncologue médical, chirurgien, oncologue radiothérapeute, pathologiste, psychiatre et psychologue, spécialiste de la douleur, infirmier, kinésithérapeute, aide-soignant, diététicien, assistant social, sont les premiers recours d’une personne souffrant du cancer du sein. Ces professionnels doivent collaborer pour permettre un suivi optimal du patient.
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Quelques conseils pour faciliter le traitement
Durant les soins, l’arrêt du tabac est recommandé. La pratique d’une activité physique adaptée contribue aussi à améliorer la qualité de vie tout au long du parcours de soins et la réponse aux traitements ; si la personne souffrante se sent bien sûr apte à le faire. Par ailleurs, le cancer et ses traitements peuvent avoir des conséquences sur l’alimentation. Un accompagnement nutritionnel peut, si le cas se présente, être utile.